Description
En mars 1698, à Québec, les Gobeil sont une fois de plus accabléspar la perte d’un être cher. Tous se sont réunis pour un dernier adieu. La douleur est vive et la vie est de plus en plus dure en Nouvelle-France. L’épidémie de variole fait rage, les morts se succèdent et la pauvreté est plus présente que jamais. Garder le moral n’est pas facile.
Au gré du vent, de leurs devoirs et de leurs destinées, les enfants Gobeil ont pris des directions différentes. Angélique tient un commerce, Catherine oeuvre pieusement aux Ursulines, Laurent a repris la mer vers l’est. Certains se sont installés sur des terres lointaines à défricher, et d’autres se retrouvent près du port de Québec en pleine action. Sauront-ils rester soudés ou l’éloignement aura-t-il raison de leur amour fraternel ? Dans ce dernier tome, l’auteure nous partage sa passion pour l’histoire de la Nouvelle-France et pour ces femmes et ces hommes travaillants. Elle décrit avec justesse et émotion les naissances, les morts, les épidémies et les guerres, nous dressant ainsi un portrait à saveur authentique.